Société de Photographie d'Histoire Naturelle

Découvrez le programme de cette sixième édition de la Fête des mares (29 mai au 6 juin 2021) en consultant le site : programmes des manifestations 2021 ou

http://www.zones-humides.org/s-informer/partez-a-la-decouverte-des-zones-humides/espace-visiteurs

Toutes les animations et sorties organisées et labellisées "Fête des mares" y sont répertoriées.

Le concours photo des mares :  

Pour cette nouvelle édition de la Fête des mares, la Société nationale de protection de la nature (SNPN) relance  « le concours photo des mares ». Le concours sera visible sur le Facebook de la SNPN du 29 mai au 6 juin 2021. Partez, muni de votre appareil photo, à la découverte  d’une mare ou d’une zone humide, de leur faune et de leur flore et envoyez vos photos par l'internet.

Tous les ans, la Royal Photographic Society organise la compétition Science Photographer of the Year. Nos voisins britanniques proposent effectivement bien des concours.

Pour la première fois, l’événement a été mené en partenariat avec le Manchester Science Festival et une catégorie « Climat » y a été intégrée. Les autres catégories s’intitulent « Causes et effets », « Compréhension de notre monde », « Espoir pour le futur » et une catégorie est réservée à la jeunesse. Tous les talents peuvent s’exprimer !

Le concours britannique dont la nouvelle version a été lancée en 2014-2015 est consacré à la photo dite sous-marine que ce soit en mer ou en eau douce. A cette époque, il comptait 2 500 photos envoyées de 40 pays différents. Le jury est notamment composé d’Alex Mustard dont la qualité des photos est bien connue. L’ancien biologiste marin a lui-même été récompensé lors de prestigieuses compétitions. L’édition 2020 présentait 5 500 photos prises par 500 photographes du monde entier. La couverture médiatique est devenue internationale.

Sur un titre de couverture accrocheur : « REFLEX vs HYBRIDES », dans son numéro 133 (mars 2021), la revue LE MONDE DE LA PHOTO édite un dossier qui faute de répondre à cette question, étudie les données de la CIPA (Camera & Imaging Products Association) de ces dix dernières années. Si la réponse n’y est pas, c’est que personne n’est devin !

Pourquoi n’existe-t-il pas une monture standard depuis que les appareils photographiques à objectifs interchangeables existent ? Une question qui nous est tous venue à l’esprit, ne serait-ce qu’au moment de changer de boitier, trouve une réponse claire et détaillée dans un article du numéro 133 (mars 2021) de la revue LE MONDE DE LA PHOTO. Et ce n’est pas qu’une question de brevet et de concurrence !

Le marché des imprimantes photo est dominé par les deux constructeurs, CANON et EPSON qui proposent 2 nouveaux modèles. Ces imprimantes sont capables d'imprimer en A3+, et utilisent la même technologie, à encres pigmentaires, beaucoup plus onéreuses que celles utilisant des encres à colorants. Cette technologie, réputée produire des tirages beaucoup plus stables dans le temps est surtout indispensable pour pouvoir utiliser des papiers dits "beaux-arts".

L'opticien indépendant SIGMA poursuit le développement d'optiques destinées au nouveaux appareils hybrides. Cette fois c'est un "incontournable" pour les photographes de nature, flore et enthomologie : le 105 mm f/2,8 Macro. Cet objectif déjà (très) présent par le passé, en monture Canon et Nikon, est cette fois, et pour l'instant réservé aux hybrides SONY (monture E) , Lumix (monture L). Selon l'article et le test publié dans le numéro 427 (Janvier-Février 2021) de Chasseur d'Images, les performances sont au rendez-vous.

Nouvelle version du logiciel de traitement d'images de DXO : version 4, toujours sans abonnement, disponible en version Essential ou Elite, avec une offre de mise à jour depuis les versions précédentes.

Comme pour la version 3, système récent nécessaire : pour PC, Microsoft Windows 8.1 ou 10 version 1809, pour Apple Mac OS 10.14. Machines puissantes et cartes graphiques récentes fortement recommandées, voir indispensabkes, surtout pour le débruitage "Deep Prime", nouveauté de cette version (Elite seulement).

La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) publie son numéro 22 de "Rapaces de France". En couverture un vautour moine auquel un article est consacré: "Un des rapaces les plus rares et les plus étudiés en Europe", ainsi qu'une interview de Christian Tessier sur la réintroduction des vautours en Baronnies.